OffBikes

Ce n’était pas arrivé depuis 71 ans ! En s’imposant à domicile, Johann Zarco devient le premier pilote français vainqueur du GP de France en catégorie reine depuis 1954 et Pierre Monneret.

Comment te sens-tu ?

Je ne vous regarde pas parce que ça m’émeut… Je sais que cette victoire, elle vous touche aussi. Pour tous les journalistes qui sont dans la moto et qui aiment l’histoire de la moto, qui aiment les pilotes français, que ça puisse arriver ici, maintenant, c’est top. C’est cool, c’est unique.

Tout ce qu’il y a autour de cette course, toutes les sollicitations, tout aurait pu être contraignant, mais finalement on dirait que ça a été positif…

(suite…)

Le pilote français, parti en pole, a chuté lors de ce Grand Prix à domicile.

Comment as-tu appréhendé les conditions météo ?

Ici, au Mans, c’est à peu près tous les ans pareil. Toujours des conditions assez compliquées. En 2021, c’était comme ça. Malheureusement, ça s’est mal terminé cette année, pour moi. Mais en tout cas, je pense qu’on a donné le maximum. C’était en général un week-end assez positif.

Qu’est-ce qui s’est passé dans ta chute ?

Rien, juste un peu plus d’eau, un peu plus de pluie. Tout simplement une chute normale.

Un petit mot sur la victoire de Johann Zarco ?

Je crois que c’est la première fois que sa maman vient sur une course en autant d’années. Je pense que c’est un peu son porte-bonheur, il devrait la prendre dans son bagage avec lui. J’imagine très bien la sensation que Johann doit avoir devant tout ce public français. Félicitations à lui.

(suite…)

Ce samedi, au Grand Prix de France, Johann Zarco décroche la septième place en Sprint.

Quel bilan dresses-tu de ce samedi ?

Content. Ça fait des points pour le Sprint. C’était un bon combat. Manque encore un peu de rythme parce que c’était pas simple de tenir le rythme, et même d’assurer la place de 7e. Content de gagner une place à la fin avec l’erreur d’Acosta. Et rattraper le tir par rapport à hier, parce qu’hier c’était vraiment dommage. On a eu un gros raté. Ce matin la confiance revient. Et là en course c’est dur d’oser se lâcher parce qu’on sent que ça va pas tenir, et je ne peux pas jouer cette carte et chuter quand la course se passe bien et que je me retrouve à une place plutôt correcte. Donc content du résultat et j’aimerais bien gagner quelques dixièmes demain, ou garder ce rythme avec plus d’aisance. Mais sans doute que les conditions peuvent changer demain et m’aider. Ou en tout cas, s’il y a la pluie, ça chamboule un peu le jeu, et j’essaierai de choper l’opportunité de faire encore mieux.

(suite…)